Erreurs timbrées
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Le Sahara Occidental n'existe plus sur le timbre émis par Algérie Poste en 2018, et affiche nettement le tracé d'une carte géographique du Maroc englobant le territoire du Sahara Occidental revendiqué par le Front Polisario.
Par lefeivre le 17/03/2024 à 20h32:06
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Pas trouvé cette coquille...à l'aide...
Par lefeivre le 17/03/2024 à 21h20:45
- chrisdi69
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https://www.huguesfolloppe.com/usaindependance
Par lefeivre le 17/03/2024 à 22h19:46
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Bien vu chrisdi69, oui, légère coquille sur la casquette, et en recherchant une image, je tombe là dessus
Par lefeivre le 17/03/2024 à 22h28:35 (modifié le 17/03/2024 à 22h34:36)
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Et pour la pipe, c'est juste la similitude de ces deux dessins qui pourrait être un +, car les deux sont fumeurs...
Par lefeivre le 17/03/2024 à 22h49:38
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- cricritounet
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« Les 200 ans du tour du monde de La Coquille« , mis en circulation fin 2022 par Fare Rata, a reçu le Grand Prix de l’art philatélique. Le timbre commémore la première circumnavigation de Jules Dumont d’Urville, entre 1822 et 1825, à bord de La Coquille, futur Astrolabe. Lors de sa première émission, il avait justement souffert… d’une coquille :
Cette première version du timbre, fin 2022, éditée à 10 320 exemples et toujours en circulation, avait défrayé la chronique, dans le petit monde des collectionneurs, puisqu’elle faisait référence au « centenaire » du voyage de la Coquille. Une erreur d’un petit siècle qui a abouti à une réédition, le 30 décembre dernier. « 200 ans du tour du monde », lit-on sur la version corrigée. L’erreur – « la coquille », comme disent les professionnels de l’imprimerie – n’a semble-t-il pas déplu aux passionnés… qui ont pris soin d’ajouter l’une et l’autre des versions à leur collection.
C’est à bord de La Coquille, navire pas si frêle que ça avec ses trois mâts et ses 31 mètres, que Jules Dumont d’Urville effectue son premier tour du monde. L’explorateur est alors lieutenant de vaisseau, chargé de la botanique et de l’entomologie (l’étude des insectes) et c’est Louis Isidore Duperrey qui commande le navire. La mission ramènera vers l’Europe, outre des récits de voyages, d’importantes collections végétales et animales.
Cette première version du timbre, fin 2022, éditée à 10 320 exemples et toujours en circulation, avait défrayé la chronique, dans le petit monde des collectionneurs, puisqu’elle faisait référence au « centenaire » du voyage de la Coquille. Une erreur d’un petit siècle qui a abouti à une réédition, le 30 décembre dernier. « 200 ans du tour du monde », lit-on sur la version corrigée. L’erreur – « la coquille », comme disent les professionnels de l’imprimerie – n’a semble-t-il pas déplu aux passionnés… qui ont pris soin d’ajouter l’une et l’autre des versions à leur collection.
C’est à bord de La Coquille, navire pas si frêle que ça avec ses trois mâts et ses 31 mètres, que Jules Dumont d’Urville effectue son premier tour du monde. L’explorateur est alors lieutenant de vaisseau, chargé de la botanique et de l’entomologie (l’étude des insectes) et c’est Louis Isidore Duperrey qui commande le navire. La mission ramènera vers l’Europe, outre des récits de voyages, d’importantes collections végétales et animales.
Par lefeivre le 18/03/2024 à 18h18:14
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Par lefeivre le 18/03/2024 à 18h37:06
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Ecriture dans un sens / dessin dans l’autre / mauvaises couleurs par rapport à celles du timbre d’origine sensé être représentés ...
Par lefeivre le 18/03/2024 à 18h50:37
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11 câbles sur des pylônes pouvant en porter 12....ben voilà ou part le pognon ! 12 au départ, 11 à l'arrivée...
Par lefeivre le 18/03/2024 à 19h24:16
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Là j'exagère, je vous le concède, mais il faut bien rire aussi...
un plongeon qui risque de faire mal...la piscine est derrière...
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Par lefeivre le 18/03/2024 à 19h39:04
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Voici un bon exemple de ce qu'il ne faudrait pas prendre pour une coquille ( même si aucun train en Belgique ne possède le logo de la poste) mais une fine interprétation du graveur pour cette journée du timbre 1969
Par lefeivre le 18/03/2024 à 20h31:42
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Portugal 2008
Peut-on qualifier ces timbres de "caduques" ? Sortis avant un évènement qui n'aura pas lieu, en effet, en 2008 le rallye sera annulé pour des raisons de sécurité
Peut-on qualifier ces timbres de "caduques" ? Sortis avant un évènement qui n'aura pas lieu, en effet, en 2008 le rallye sera annulé pour des raisons de sécurité
Par lefeivre le 19/03/2024 à 16h48:32
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Egypte 1961, journée de l'Afrique (Africa's day)
Par lefeivre le 19/03/2024 à 17h02:36
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A votre avis ?
Par lefeivre le 19/03/2024 à 18h09:27
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Voici un autre timbre dont l'évènement n'aura jamais lieu...
En janvier 2005, Alger est nommé pour accueillir les deuxièmes Jeux afro-asiatiques à la suite des Jeux africains de 2007. En juillet 2007, le président de l'ACNOA Lassana Palenfo annonce que les Jeux sont reportés, accusant les Asiatiques de ne pas aligner leurs meilleurs athlètes :« L'Afrique est fin prête pour organiser ces jeux. Seulement, les Asiatiques n'ont pas aligné les médaillés des Jeux asiatiques de Doha au Qatar. On s'attendait à recevoir plus de 500 athlètes, malheureusement, moins de 150 sont effectivement fin prêts pour ces jeux. L'Association olympique indienne blâme quant à elle le Comité olympique algérien pour son « manque d'initiative ». Cette édition ne sera jamais disputée.
En janvier 2005, Alger est nommé pour accueillir les deuxièmes Jeux afro-asiatiques à la suite des Jeux africains de 2007. En juillet 2007, le président de l'ACNOA Lassana Palenfo annonce que les Jeux sont reportés, accusant les Asiatiques de ne pas aligner leurs meilleurs athlètes :« L'Afrique est fin prête pour organiser ces jeux. Seulement, les Asiatiques n'ont pas aligné les médaillés des Jeux asiatiques de Doha au Qatar. On s'attendait à recevoir plus de 500 athlètes, malheureusement, moins de 150 sont effectivement fin prêts pour ces jeux. L'Association olympique indienne blâme quant à elle le Comité olympique algérien pour son « manque d'initiative ». Cette édition ne sera jamais disputée.
Par lefeivre le 19/03/2024 à 18h26:06
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Interprétation d'artiste ?
Par lefeivre le 19/03/2024 à 18h49:06
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Ce timbre représente un relieur en train de coudre un livre.
Il n’y a pas d’emplacement pour les chaînettes, c’est à dire pour les endroits où le fil pénètre dans le cahier et en ressort. C’est grâce à ces chainettes que le relieur/se lie les cahiers les uns aux autres.
Sur le timbre il n’y a pas de reliure possible seulement un empilement de cahiers indépendants les uns des autres.
Il n’y a pas d’emplacement pour les chaînettes, c’est à dire pour les endroits où le fil pénètre dans le cahier et en ressort. C’est grâce à ces chainettes que le relieur/se lie les cahiers les uns aux autres.
Sur le timbre il n’y a pas de reliure possible seulement un empilement de cahiers indépendants les uns des autres.
Par lefeivre le 19/03/2024 à 19h07:15
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Que le Venezuela veuille, en 1896, rendre hommage à l’un de ses enfants, Fransisco Miranda, quoi de plus naturel ? A un détail près : le timbre ne représente pas Miranda ni même l’état du Venezuela qui porte le nom du libérateur. A la place : une carte de la région vénézuélienne proche de la Guyane britannique. Le choix n’est pas anodin : les compatriotes de Miranda ont des vues sur les Guyanes, seuls territoires sud-américains encore sous domination européenne. L’hommage à Miranda n’est donc que le prétexte à des revendications territoriales.
Londres ne l’entend pas ainsi et la tension monte. Les Etats-Unis doivent intervenir pour calmer les esprits. Le Venezuela recule finalement. Le 2 février 1897, à Paris, il signe un traité avec la Grande-Bretagne reconnaissant les frontières actuelles.
Et, le 4 novembre précédent, il a accepté de retirer les timbres fauteurs de troubles. Ceux-ci n’ont servi que quatre mois, ce qui explique leur relative rareté et l’attrait qu’ils ont exercé sur les faussaires : on trouve aujourd’hui plus d’imitations que d’originaux !
Londres ne l’entend pas ainsi et la tension monte. Les Etats-Unis doivent intervenir pour calmer les esprits. Le Venezuela recule finalement. Le 2 février 1897, à Paris, il signe un traité avec la Grande-Bretagne reconnaissant les frontières actuelles.
Et, le 4 novembre précédent, il a accepté de retirer les timbres fauteurs de troubles. Ceux-ci n’ont servi que quatre mois, ce qui explique leur relative rareté et l’attrait qu’ils ont exercé sur les faussaires : on trouve aujourd’hui plus d’imitations que d’originaux !
Par lefeivre le 19/03/2024 à 19h21:38
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Un voisin envahissant...40 000 $ de manque à gagner et une grosse colère de son voisin, Haïti : c’est ce qu’a coûté une série de timbres à la République Dominicaine en 1900.
Cause de tous les problèmes : la frontière, telle que les timbres la délimitaient, privait Haïti d’une portion non négligeable de son territoire: Les Etats-Unis durent intervenir et sous leur pression, les Dominicains retirèrent les timbres provocateurs et les brûlèrent.
En rouge, la frontière telle qu’elle aurait dû être tracée :
Malgré cette destruction massive, les timbres sont, aujourd’hui, loin d’être rares. La raison : pour satisfaire les collectionneurs qui n’avaient pas eu le temps de se procurer les timbres, le gouvernement dominicain ou, plus vraisemblablement, une firme privée, réimprima en quantité.
Cause de tous les problèmes : la frontière, telle que les timbres la délimitaient, privait Haïti d’une portion non négligeable de son territoire: Les Etats-Unis durent intervenir et sous leur pression, les Dominicains retirèrent les timbres provocateurs et les brûlèrent.
En rouge, la frontière telle qu’elle aurait dû être tracée :
Malgré cette destruction massive, les timbres sont, aujourd’hui, loin d’être rares. La raison : pour satisfaire les collectionneurs qui n’avaient pas eu le temps de se procurer les timbres, le gouvernement dominicain ou, plus vraisemblablement, une firme privée, réimprima en quantité.
Par lefeivre le 19/03/2024 à 19h35:06
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Un conflit peut en cacher un autre...
Pour les autorités du Guatemala, le Belize (ex-Honduras britannique) et le Guatemala ne forment qu’un seul peuple, descendant à plus de quatre-vingt-quinze pour cent des Mayas. Aussi les Guatémaltèques réfutent-ils l’actuel découpage, conséquence du partage réalisé au XVII » siècle par les occupants espagnols et anglais. Leur revendication, la réunification, ne date pas d’hier. Mais elle est, au début, très mesurée. Pour preuve, ce timbre guatémaltèque qui parait en 1936 : il trace la carte du Guatemala en prenant soin de citer les voisins de celui-ci : le Mexique, le Salvador, le Honduras et… le Belize
Mais après plusieurs tentatives de négociation, l’intransigeance de Londres finit par irriter le Guatemala. Pour les Sud-Américains, il n’est pas encore question de se battre militairement. La première offensive sera donc philatélique : le 7 septembre 1939, six nouveaux timbres guatémaltèques sont émis. Ils reprennent la carte de 1936.
Mais, cette fois, le Belize est « annexé » par le Guatemala. L’effet recherché ne se produira pas : les timbres passent même inaperçus en Grande-Bretagne. Quatre jours plus tôt, le gouvernement anglais a, en effet, déclaré la guerre à l’Allemagne. Il a maintenant un conflit autrement plus sérieux à régler…
Pour les autorités du Guatemala, le Belize (ex-Honduras britannique) et le Guatemala ne forment qu’un seul peuple, descendant à plus de quatre-vingt-quinze pour cent des Mayas. Aussi les Guatémaltèques réfutent-ils l’actuel découpage, conséquence du partage réalisé au XVII » siècle par les occupants espagnols et anglais. Leur revendication, la réunification, ne date pas d’hier. Mais elle est, au début, très mesurée. Pour preuve, ce timbre guatémaltèque qui parait en 1936 : il trace la carte du Guatemala en prenant soin de citer les voisins de celui-ci : le Mexique, le Salvador, le Honduras et… le Belize
Mais après plusieurs tentatives de négociation, l’intransigeance de Londres finit par irriter le Guatemala. Pour les Sud-Américains, il n’est pas encore question de se battre militairement. La première offensive sera donc philatélique : le 7 septembre 1939, six nouveaux timbres guatémaltèques sont émis. Ils reprennent la carte de 1936.
Mais, cette fois, le Belize est « annexé » par le Guatemala. L’effet recherché ne se produira pas : les timbres passent même inaperçus en Grande-Bretagne. Quatre jours plus tôt, le gouvernement anglais a, en effet, déclaré la guerre à l’Allemagne. Il a maintenant un conflit autrement plus sérieux à régler…
Par lefeivre le 19/03/2024 à 19h46:30
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L’importance symbolique de la carte, alliée à l’impact médiatique du timbre, est capable de mobiliser des foules. Voire des armées...
L’Argentine a toujours contesté l’occupation britannique des iles Falkland. Aussi, quand les Anglais commémorent le centenaire de leur présence dans l’archipel, en 1933
Buenos Aires réplique par un timbre sur lequel les Malvinas (nom espagnol des Falkland) sont colorées en brun, comme le territoire argentin continental
Le conflit par timbres interposés s’interrompt pendant la Deuxième Guerre mondiale. Mais il reprend, ensuite, de plus belle. En 1946, une nouvelle carte britannique montre non seulement les Falkland mais aussi les territoires antarctiques situés entre le 20e et le 80e méridiens
Grosse colère chez les Argentins qui, de leur côté, revendiquent la partie comprise entre les 25e et 74e méridiens
Pour ne rien arranger, un troisième larron leur emboîte le pas : le Chili, également intéressé par une part du gâteau glacé. Ses prétentions : la zone qui va du 53e au 90e méridien
. Le continent antarctique a beau être immense, trois occupants antagonistes sur un même territoire risquent de faire monter dangereusement la température. D’autant que l’Argentine surenchérit : elle inclut les Falkland et « son » territoire antarctique dans le recensement national de 1960
Cette annexion sous couvert d’études démographiques ne trompe personne: les Falkland et l’Antarctique accueillent en effet plus de manchots que de gauchos… L’offensive philatélique argentine n’a pas encore atteint son paroxysme. C’est chose faite en 1964 lorsque Buenos Aires plante ostensiblement son drapeau bleu et blanc sur tous les territoires revendiqués : non seulement les Falkland et l’Antarctique mais aussi les petites îles dépendant des Falkland
On aurait pu espérer que le conflit – armé, cette fois – de 1982 entre l’Argentine et l’Angleterre aurait réglé le contentieux. Cela n’est, semble-t-il, pas le cas : après son échec militaire, l’Argentine livrait encore un baroud d’honneur philatélique...
L’Argentine a toujours contesté l’occupation britannique des iles Falkland. Aussi, quand les Anglais commémorent le centenaire de leur présence dans l’archipel, en 1933
Buenos Aires réplique par un timbre sur lequel les Malvinas (nom espagnol des Falkland) sont colorées en brun, comme le territoire argentin continental
Le conflit par timbres interposés s’interrompt pendant la Deuxième Guerre mondiale. Mais il reprend, ensuite, de plus belle. En 1946, une nouvelle carte britannique montre non seulement les Falkland mais aussi les territoires antarctiques situés entre le 20e et le 80e méridiens
Grosse colère chez les Argentins qui, de leur côté, revendiquent la partie comprise entre les 25e et 74e méridiens
Pour ne rien arranger, un troisième larron leur emboîte le pas : le Chili, également intéressé par une part du gâteau glacé. Ses prétentions : la zone qui va du 53e au 90e méridien
. Le continent antarctique a beau être immense, trois occupants antagonistes sur un même territoire risquent de faire monter dangereusement la température. D’autant que l’Argentine surenchérit : elle inclut les Falkland et « son » territoire antarctique dans le recensement national de 1960
Cette annexion sous couvert d’études démographiques ne trompe personne: les Falkland et l’Antarctique accueillent en effet plus de manchots que de gauchos… L’offensive philatélique argentine n’a pas encore atteint son paroxysme. C’est chose faite en 1964 lorsque Buenos Aires plante ostensiblement son drapeau bleu et blanc sur tous les territoires revendiqués : non seulement les Falkland et l’Antarctique mais aussi les petites îles dépendant des Falkland
On aurait pu espérer que le conflit – armé, cette fois – de 1982 entre l’Argentine et l’Angleterre aurait réglé le contentieux. Cela n’est, semble-t-il, pas le cas : après son échec militaire, l’Argentine livrait encore un baroud d’honneur philatélique...
Par lefeivre le 20/03/2024 à 16h06:25
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Ce timbre montrant la carte , des Zil Elwannyen Sesel (Seychelles îles éloignées) était voué à la destruction avant même d’avoir été émis. Peu après la réception du tirage, la Poste seychelloise découvrait, en effet, que le dessinateur avait, par mégarde, englobé les îles Agaléga, propriété de l’île Maurice
Prévoyant une vive réaction de son voisin, les Seychelles préférèrent détruire le stock et passer commande d’une version corrigée à l’imprimeur anglais
Dix feuilles de timbres erronés, vendues par erreur échappèrent tout de même à leur triste destin. Pour la plus grande joie des philatélistes
Prévoyant une vive réaction de son voisin, les Seychelles préférèrent détruire le stock et passer commande d’une version corrigée à l’imprimeur anglais
Dix feuilles de timbres erronés, vendues par erreur échappèrent tout de même à leur triste destin. Pour la plus grande joie des philatélistes
Par lefeivre le 20/03/2024 à 16h20:57
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