...... luciernaga.
Bonsoir.
Avec sa permission, je vous présente la seule membre du MdT, résidant au Pérou.
Voici, Marilú (diminutif de María Luz).

Comme le dit le dicton, .... que le monde est petit, çà s’est confirmé une fois de plus. Lima est une très grande ville, en population et en superficie, probablement l’une des villes parmi les plus étendues dans le monde.
Marilú demeure dans le district (équivalent aux arrondissements à Paris) de Miraflores, pas tellement loin de l’endroit où demeure ma fille.
Je l’ai rencontrée à 2 reprises et nous avons pu converser quelques heures de philatélie, de l’avenir sombre de la philatélie, de toutes sortes de sujets, même de politique; ..... probablement après avoir discuté de l’avenir sombre de la philatélie ..... :-).
C’est une dame très gentille, bien éduquée et scolarisée; elle a fait une partie de ses études au Lycée Franco-Péruvien de Lima. Elle ne parle pas souvent en français, mais elle se débrouille très bien.
Elle est isolée comme membre du MdT. Même si elle n'a pas beaucoup d’échanges, vous pouvez lui faire confiance.
Elle offre le Pérou en neuf et en oblitéré. Elle recherche la France d’abord et quelques autres pays européens. Elle semble bien structurée et organisée. Elle m’a remis sa mancoliste dactylographiée du Canada. En la contactant, je crois qu’elle peut vous indiquer ses mancos concernant votre pays, s’il y en a.
Elle est membre de l’Association Philatélique Péruvienne. Elle est membre du conseil d’administration de l’Association; elle en est la secrétaire. Elle m’a donné 2 revues que publie leur association.

C’est une revue de qualité, sur papier glacé. Le contenu est varié et intéressant. Ces 2 exemplaires ont 44 et 40 pages.
Elle m’a aussi donné un calendrier 2014 que publient les Postes péruviennes. Celui-ci est illustré d’émissions de 2013, dont deux belles séries sur les oiseaux.
J’ai extrait les deux blocs-feuillets.
Bloc-feuillet sur les oiseaux-mouches du Pérou.
Bloc-feuillet sur les aigles du Pérou.
Dans une amorce d’échange, elle m’a remis à l’avance 121 timbres oblitérés du Pérou.
Elle m’a dit qu’il n’existe plus de commerces pour timbres et monnaies à Lima. S’il n’en existe plus à Lima, imaginez dans le reste du pays. Les philatélistes péruviens commencent à prendre de l’âge car la relève est très faible.
Lors d’un voyage antérieur, j’étais allé dans le Centre Historique de Lima (district Lima cercado). Dans ce district se trouve la Plaza de Armas ou Plaza Mayor.
Tout autour de cette grande Place, il y a de magnifiques immeubles dont on note l’influence de l’architecture espagnole. Ils sont tous peints de couleur ocre jaune. Ce sont tous des immeubles de l’administration municipale. Cette Place est très illuminée le soir.


Pas tellement loin de cette Place, j’étais également allé au Ministère des Postes. Au rez-de-chaussée, il y avait une très grande salle où l’on présentait des expositions philatéliques thématiques, qui se succédaient au cours de l’année. L’entrée était gratuite. Au moment où j’y étais allé, l’exposition portait sur le thème de la papauté. C’était une exposition mondialiste, illustrée par des centaines de timbres de toutes les époques papales. Les Postes péruviennes semblent avoir de belles collections thématiques.
Il y avait un bureau de poste attenant à l’immeuble. J’y étais allé pour acheter des timbres afin d’expédier des cartes postales. J’avais demandé de choisir les timbres; la guichetière m’avait remis un grand cahier rempli de centaines de timbres variés pour que je puisse faire mon choix sur une table avec chaises à 3-4 mètres du comptoir, pendant qu’elle répondrait aux autres clients. C’est sûrement la seule fois de ma vie que çà me sera arrivé.
J’y suis retourné cette année. Le Ministère des Postes a été déménagé dans un immeuble plus petit, à proximité de son ancien immeuble. Je n’y ai pas trouvé de salle d’exposition. Il y a toujours un bureau de poste attenant à l’immeuble. En fait, c’est un local regroupant des centaines de casiers communautaires; on y vend aussi des timbres, mais on ne peut plus choisir. Pour l’international, il n’y avait que quatre choix que l’on devait acheter en mini-feuillet de 6 timbres. C’était une série sur les vice-rois du Pérou, émise le 24 juin 2008. Ils avaient peut-être un surplus de timbres de cette année-là.

Près du Ministère des Postes, il y a une longue rue piétonnière, où de chaque coté, se trouvent un grand nombre de petits kiosques artisanaux où l’on y vend toutes sortes de choses pour les touristes dont des ensembles de timbres du monde entier, c’est aussi possible d’y trouver des pièces de monnaies. Il y a beaucoup de choix, mais il n’a aucun classement. Il faut donc être patient; de même la qualité varie beaucoup. J’en ai acheté quelques-uns pour vous montrer.




Christophe m’a renseigné au sujet de la dernière série, que les émissions modernes du Batum n’étaient que fantaisie. Je me suis fait prendre, je ne dois pas être le premier. C’est dommage car les timbres sont beaux.
Tant qu’à être au Pérou, faisons une petite visite.
Pour un résident d’un pays nordique, à la période de l’année où j’y étais, le Pérou a toujours été très dépaysant. Je vais vous présenter mon coup d’oeil, avec des images provenant de différents voyages.
Le Pérou est un pays aux multiples climats. Tout le littoral péruvien fourmille de très nombreuses plages. Il y a constamment du vent en provenance de l’Océan Pacifique, ce qui amène continuellement des vagues en succession. L’eau est froide.




Poursuivons notre visite en nous rendant à Cuzco (3 360 m d’altitude). C’est la capitale de la Vallée Sacrée (+ de 300 000 h). C’est le point de départ pour beaucoup de voyageurs qui se rendent visiter la vieille cité inca, le Machu Picchu. La poste péruvienne a émis un bloc-feuillet en 2011 pour célébrer le centenaire de la découverte de cette vieille cité inca.
Dans Cuzco, on y trouve encore des murs et des rues construits par les Incas.
Petite anecdote : Lorsque les Espagnols ont conquis le Pérou; ils ont dit aux Incas qu’ils allaient leur apprendre à faire des constructions. Dès les premiers tremblements de terre significatifs (le Pérou subit de fréquents tremblements de terre de diverses intensités), les constructions espagnoles se sont écroulées, alors que celles des Incas étaient restées debout. Une preuve de plus, qu’on peut toujours apprendre des autres.
Ma fille demeure dans un immeuble qui a été construit depuis un peu moins de dix ans. Dans les immeubles assez récents contruits en ciment, les constructeurs font des sillons dans les arêtes des murs et des plafonds. Ceci atténuerait l’effet des séismes de plus faible intensité. Voici deux photos de son appartement, on y voit bien les sillons.
On poursuit à Cuzco.
La technique de construction des toits péruviens.
En 2009, Télé-Québec a produit une série de 12 documentaires pour une émission portant le nom de Terres d’échanges.
Les documentaires concernent le travail de 12 coopérant(e)s du Québec dans 12 pays étrangers, et de 12 coopérant(e)s de ces 12 mêmes pays, au Québec.
Le Pérou était l’un des pays choisi. Ma fille a été sélectionnée comme coopérante québécoise au Pérou. Le documentaire sur le Pérou a été tourné au début de juillet 2009; ma fille était enceinte de son fils qui allait naître le 18 août.
À cette époque, elle se rendait quelques jours par mois à Cuzco, pour son travail. Vous allez donc voir de belles images de Cuzco.
Voici la moitié de ma descendance québéco-péruvienne. Jean-Claude, je vous présente Christine.
Voici l’adresse URL de cette série de documentaires. L’épisode 12 concerne le Pérou.
Voici l’autre moitié de ma descendance péruvienne.
Retournons à Lima.
Lima est situé dans le désert sur le littoral péruvien. C’est une ville d’une très grande superficie. La grande agglomération est composée de 2 provinces : la province de Lima (43 districts et 10 000 000 h) ainsi que la province de Callao (6 districts et 2 000 000 h). Officiellement, seule la province de Lima serait la ville de Lima.
En fait, la population est plus élevée, car chaque semaine des paysans et des montagnards viennent s’établir à Lima pour améliorer leur situation économique. Les désirs et la réalité diffèrent souvent. D’ailleurs, de voyage en voyage, la croissance de l’étendue des bidonvilles est perceptible. Je ne crois pas que ces zones soient vraiment recensées.

Lima semble avoir deux saisons de six mois chacune, l’été et hiver. Les journées estivales sont régulièrement ensoleillées, chaudes et humides; alors que l’hiver les liméniens ne voient pas souvent le soleil et c’est très humide. C’est tellement humide que tout à tendance à moisir; le papier, les tissus, le bois ... etc. On ouvre un tiroir de commode, et on perçoit aussitôt cette odeur caractéristique d’humidité.
Lors d’une visite au Québec, ma fille m’a rapporté ce document philatélique péruvien.

Vous pouvez voir l’effet de l’humidité sur le papier. On voit que certains timbres ont des taches de rouille.
Ce document représente des émissions d’un calendrier inca. Les 6 timbres du haut représentent les mois de juillet à décembre, ils ont été émis en 1972. Les 6 autres représentent les mois de janvier à juin, ils ont été émis en 1973.
Dans un fil de discussion sur le site, Romi explique que < ... la tache de rouille sur les vieux timbres est dû à un champignon. Il n'a que l'apparence de la rouille. Comme c'est dû à une matière vivante qui se développe et s'étend (certes lentement), il faut absolument traiter ces taches au permanganate ou à l'eau de Javel. Ces produits décomposant la matière organique sont tout à fait appropriés pour tuer le champignon en question... tant qu'ils ne s'attaquent pas aux fibres de cellulose qui constituent le papier. ... >.
Je n’ai jamais essayé ces techniques; mais le permanganate de potassium [KMnO4] est violet foncé en solution et c’est facilement un colorant !! En ce qui concerne l’hypochlorite de sodium [NaClO], incolore en solution, il agit comme agent de blanchiment !!
Je n’ose pas tenter ces techniques, par crainte de bousiller le document.
Depuis que je l’ai, les taches de rouille n’ont pas progressé. Au Québec, c’est beaucoup moins humide qu’à Lima; de plus durant plusieurs mois, on doit chauffer nos maisons pour qu’elles soient habitables, donc un milieu beaucoup plus sec.
J’ai trouvé sur internet l’anecdote suivante : <... La légende raconte qu'en 1535, alors que tout le Pérou est occupé par les conquistadors espagnols, Francisco Pizzaro a eu la bonne idée de demander aux Incas qu'il venait d'écraser, leur avis quant à la meilleure situation géographique pour une capitale. Histoire de rigoler un peu avec les premiers gringos de l'histoire (qui se faisaient déjà avoir à l'époque), les Incas lui conseillent la ville de Lima, ville dans laquelle le soleil ne se montre presque jamais (période hivernale), chose horrible pour les Incas. Pizzaro marche comme un gros naïf, et fonde Lima sans doute au pire endroit du Pérou. Aujourd'hui, Lima est la ville la plus étendue sur le désert (devant le Caire), et constitue un désastre écologique concernant l'approvisionnement en eau ...>.
Donc le gazon, les fleurs et de nombreuses espèces végétales que vous verrez dans les photos, nécessitent de fréquents arrosages sinon ils dépériraient rapidement.
L’eau étant rare dans le désert, le district de Cieneguilla est particulièrement privilégié car un petit cours d’eau peu profond passe dans celui-ci.

Une entreprise privée a construit un beau centre de villégiature à proximité de celui-ci.
Sur plusieurs photos, vous pouvez remarquer que les boyaux d’arrosage sont laissés sur place, car ils sont fréquemment utilisés.
Lima est une ville très bruyante, à cause d’une très importante circulation automobile. Il y a beaucoup d’autos, des milliers de taxis et d’autobus. Plusieurs autobus ont un crieur dans leur porte médiane, et à chaque fois que l’autobus fait un arrêt; il crie les noms des artères du circuit de celui-ci. Sur un boulevard important, si 15 à 20 autobus sont à l’arrêt à un feu rouge, on assiste à une cacophonie incroyable.
Si Lima avait plusieurs lignes de métro, ce problème serait atténué. En fait, depuis quelques années, Lima a une première ligne de métro. La station principale est souterraine, les autres sont hors terre.

Des 26 stations prévues, 16 sont présentement terminées et opérationnelles. Dans les voitures, les passagers sont cordés comme dans un champ de poireaux. Nous l’avons utilisé une fois, aller-retour. Nous avons attendu 3 rames de métro pour y monter, et nous faisions partie du champ de poireaux. Compte tenu de l’importance de la ville, Lima devrait avoir depuis longtemps plusieurs lignes de métro. Imaginons un instant que l’actuel Paris métropolitain ne compterait qu’une ligne de métro de 16 stations !!
La circulation à Lima est infernale et chaotique. Le mot courtoisie n’a pas d’existence légale à Lima, pour les conducteurs de véhicules. Des boulevards importants à 8 voies (4-4), deviennent à certaines périodes de la journée dans certaines zones, des boulevards à 10 voies (5-5). Les autos se voient de proche. Je n’ai jamais vu ou entendu un accident survenir, mais en observant les autos, les taxis et les autobus, on constate qu’un fort pourcentage des véhicules portent des traces d’impact.
À beaucoup d’endroits à Lima, les panneaux suivants ont une connotation plutôt symbolique.
Despacio (lentement) et pare (arrêtez).


Comme l’indique la dernière photo, le message doit parfois être renforci. En plus du panneau et l’inscription sur le pavé, un dos d’âne est aussi ajouté.
Certains conducteurs et chauffeurs de taxi agissent de la façon suivante; à l’approche d’une intersection, ils klaxonnent une couple de fois, et s’il n’y a pas de réponse par klaxon venant de l’artère transversale, ils ignorent l’arrêt. Lorsqu’on prend un taxi, on ne sait pas quel type de numéro on vient de choisir.
Dans quelques districts ouvriers, tel le district de Chorrillos, les autorités permettent l’utilisation des motos-taxis, qui sont moins dispendieux que les taxis réguliers, par contre ils ne sont pas très sécuritaires et ils sont nombreux dans ces districts.
Lima est une ville très colorée, il y a de beaux parcs un peu partout. Une couple de photos prises dans le district de Barranco.
La plupart des beaux districts se trouvent sur le littoral ou près de celui-ci.
Je vais vous présenter le plus beau district de Lima, soit le district de Miraflores. Je ne suis pas objectif, j’ai une préférence; mais je crois vraiment que c’est le plus beau district.
C’est le district touristique et d’activité économique de Lima. On y trouve toutes les grandes chaînes hôtelières nord-américaines et sud-américaines. La plupart des ambassades et consulats y sont situés.
Un fort pourcentage des étrangers demeurant à Lima, résident dans ce district. On y trouve des casinos et beaucoup de restaurants. Il y a aussi plusieurs centres d’achat et de très nombreux beaux parcs. S’il y a un district qui porte le bon nom, c’est celui de Miraflores (regarde les fleurs).
C’est dans ce district qu’est situé le site archéologique de Huaca Pucllana.
Les maisons et immeubles sont très souvent fleuris.
Les Péruviens sont très pratiquants. Dans la période de Noël, on trouve beaucoup de décorations religieuses. On retrouve de belles crèches, un peu partout. Dont celles des mercados indiens.
Dans cette période, les parcs ont plusieurs décorations lumineuses.
Je vais vous montrer un très beau parc situé sur le bord de la falaise. C’est le Parque del Amor (Parc de l’Amour).
C’est dans ce parc que se trouve le site d’envol des parapentistes à Lima, qui s'envolent au-dessus du Pacifique.
Tout le long de la falaise, il y a des clôtures ou des murets variés. Sur une certaine distance, il y a une série de murets décoratifs portant toutes sortes d’inscriptions, des citations de personnes célèbres, d’autres ayant trait à l’amour (en rapport avec le nom du parc).
La photo suivante montre une citation d’un poème, du poète et homme politique chilien, Pablo Neruda, Prix Nobel de Littérature en 1971. Pero llega la hora de la venganza, y te amo (Mais arrive l'heure de la vengeance, et je t'aime). Il a été ambassadeur du Chili en France. Il est décédé au Chili en 1973, peu de temps après le coup d’état de Pinochet.
Par la photo suivante, vous pouvez estimer la hauteur de la falaise. C’est malheureusement un site qu’utilise les personnes suicidaires.
Ils tentent d’implanter des espèces végétales ayant un bon enracinement, afin de consolider davantage les parois de la falaise. C’est un travail de longue haleine car le milieu est très aride.
Je vous présente maintenant un très grand parc de Miraflores situé dans une zone très commerciale, soit le Parc John-F. Kennedy.
Les chats semblent aimer l’odeur des fleurs car on en voit souvent dans les arrangements floraux.
Un rappel de l’art inca.
Un vestige du colonisateur espagnol. Il y a toujours des combats de taureaux au Pérou. Par contre, la pression populaire voudrait les faire cesser.
Les fins de semaine, les artistes peintres offrent leurs toiles aux passants de ce parc.
Dans tous les beaux districts de Lima, la sécurité est omniprésente. Il n’est pas rare de voir au moins un policier de faction devant les banques, les pharmacies, les casinos, les grosses épiceries et tous les commerces générant beaucoup de liquidités.
Même les résidences et les immeubles s’assurent d’être protégés.
Parfois ce sont des tessons de bouteilles implantés au sommet des murs de ciment.
Au sommet des grilles, on retrouve souvent des tiges métalliques acérées et des fils électrifiés. J’ai déjà vu des tiges acérées, au-dessus desquelles il y avait trois rangées de barbelés, lesquelles étaient surmontées de trois rangées de fils électrifiés !!!
C’était mon petit coup d’oeil sur le Pérou. Je me suis limité, il y aurait tellement à dire.
Je sais que Jean-Claude (Romi) y est allé à quelques reprises, probablement plus en aventurier que moi; son coup d’oeil serait sûrement différent et complémentaire.
Sauf durant les émissions de dessins animés, les petits Incas vous saluent.
Je m’ennuie de Lima, car le 30 mars, on a encore de bonne chute de neige. L’hiver nous aime tellement qu’il ne veut pas nous quitter; si seulement il s’adressait aux bonnes personnes :-D .
Nous sommes présentement dans une période très festive au Québec, soit celle des cabanes à sucre. Elles sont ouvertes car elles utilisent du sirop de l’année dernière. En Montérégie, les acériculteurs n’ont pas vraiment commencé à récolter la sève d’érable. Les conditions climatiques n’y sont pas. Il faut que çà gèle la nuit, et que çà fonde le jour. Cette alternance se poursuit sur plusieurs semaines, avec le résultat que le Québec produit 70% de la production mondiale du sirop d’érable.
Si vous venez au Québec en cette période, profitez de l’occasion pour aller à une cabane à sucre, vous ne le regretterez pas. Je ne vous l’ai jamais dit, mais si vous venez au Québec, ne vous attendez pas à retourner chez-vous avec le même tour de taille qu’à votre arrivée ;-) .
Bonne soirée.
Par timbres9 le 30/03/2014 à 23h42:31