Bonjour à tous,
Ne sachant pas si je dois faire un topic pour toutes ces question ou si je peux les regrouper j'ai choisi la deuxième méthode, merci de me signaler si je dois démultiplier les posts.
Timbre poste réel ou "fake" ?
J'ai remis le nez dans un collection que j'ai depuis quelques années et je me pose la question sur les timbres réellement usé ou pas, je m'explique.
Pour moi la philatelie n'est pas qu'une activité de "fourmis" (recherche, tri et collection) mais je m'interesse au cadre qui acompagne les timbres (histoire, pays, thèmes abordé).
Je suis surpris quand je vois certains pays qui font des thèmes complétement décalé (timbres sur les JO pour un pays desertique n'ayant existé que quelques années, tampon fait de facon "imprimée", ...) ou hyper prolifique (posta romana, ajmen, ...) avec des timbre sur tous les thémes en quantitié impressionnante.
Comment pouvons-nous identifier de façon certaine les timbres "réel" des timbres "factices"?
Colonies et dépendances ?
Certains pays se sont développé de façon pousée et dans certains cas (méconnaissance de leur histoire) il est difficile de s'y retrouver. Par exemple la grande bretagne (British Antarctic Territory, British Guiana, British Guiana, British Honduras, British Levant, British Occupied Italian Colonies, British P.A. Eastern Arabia, British Post Office is Siam, British Virgin Islands, ...) qui ne présente parfois que peu de difference / identification (logo de la reine, ...).
Pour les les dépendances et colonie qu'elle soit francaise, anglaise ou autre, comment faire pour identifier de quel "pays" il s'agis (un peu plus de facilité pour la france de part la langue qui facilite les recherches) ? et la période?
Catalogues ?
Pour les timbres des pays les plus courants que je rencontre j'ai pris un catalogue Suisse (Zumstein), la france (Y&T), Italie (Bolaffi).
Pour les autres pays (hors EU) comment faites vous pour classer votre collection?
Et pour les pays qui n'ont pas eu une grande histoire / durée ?
Merci pour vos réponses et au plaisir de vous lire.
Gianluca Gatti